Brutalité du graff, douceur de l’art de la calligraphie mais aussi alphabet cyrillique ou hiéroglyphes… Woo se joue des symboles, sans toujours de portée symbolique. 

Inspiré depuis l’enfance par l’univers graphique de Keith Haring ou Niki de Saint Phalle, la production de Woo se caractérise par une technique mêlant peinture acrylique, encres pigmentaires, Posca, feuilles d’or et d’argent.

Ses supports de prédilection sont le papier, le bois ou la toile. Grands ou petits formats au gré de ses envies. Artiste pluridisciplinaire, Woo prône un art instinctif. Pourtant, certaines de ses toiles récentes abordent des thèmes sociétaux contemporains que l’œil, dans sa flânerie, pourra identifier par le symbole.

Son pseudonyme évoque autant ses racines asiatiques que son expérience à Hong Kong. Au sein des établissements du groupe Le Comptoir, parmi lesquels le restaurant Bibo, où l’on pouvait se noyer dans des œuvres de Banksy, Murakami, Arsham, Ron English, Jonone, Basquiat, Invader, Hirst, Kaws, Shepard Fairey, André, JR et bien d’autres.