Galerie 337

Galerie 337

La Galerie 337, située à Saint Paul De Vence, Courchevel, Megève, Genève et nouvellement Arcachon, est une galerie d’art contemporain qui représente de nombreux artistes confirmés, talentueux et originaux. La galerie  propose une diversité de sculptures, peintures et sérigraphies 3D d’artistes confirmés comme Gé PELLINI, Jerlef, Thierry d’Ascia, Charles FAZZINO, Romaric, David DAVID … mais aussi Christophe BIANCHERI, JOSEPHA et François BEL ici présentés.  



Christophe BIANCHERI 

(En exclusivité à la galerie 337)


Artiste français né en 1972 à La Ciotat, Christophe BIANCHERI se passionne très jeune pour l’Art : création, peinture, sculpture… Son parcours scolaire l’emmène dans le monde de l’ingénierie. Persuadé que cet univers est incompatible avec l’art il met sa passion en sommeil, mais celle-ci est tenace et le fait replonger et il décide alors d’y réunir ses passions : métal, voitures anciennes, street art, pop art, icônes des années 60 et 70, cinéma… Il se forge un style, il crée sur des éléments de carrosserie. Ses œuvres sont un mélange personnel de toutes ces références. 


« J’ai utilisé mes connaissances pour créer des ébauches sur informatique qui me servent à la création finale. Mes oeuvres touchent des univers différents qui me passionnent comme l’architecture, le cinéma ou le sport et bien entendu les mathématiques… », explique l’artiste. 

François Bel


François Bel, né en 1977, est lyonnais d’origine. Il vit aujourd’hui sur la côte atlantique. C’est un artiste aux multiple casquette. Aussi à l’aise en peinture, qu’en sculpture ou dans la mise en place d’installations, son œuvre et ses inspirations sont éclectiques. Bercé par le Street-Art, auquel il emprunte le système de répétition et de déclinaison. L’artiste s’intéresse tout autant à des mouvements dits du « nouveau réalisme » dans lesquels il se reconnait, comme le Dada ou le Pop’art, qui détournent les objets du quotidien pour mieux critiquer la société de consommation actuelle, à l’image des « ready-made » de Duchamp.


Travaillant tour à tour le fil de nylon pour ses suspensions et le fil de fer pour ses sculptures, François Bel se réapproprie chaque matériau. Jouant sur l’idée de cloisonnement, en enfermant certaines de ses sculptures dans du grillage, l’artiste dénonce une fois de plus la société contemporaine, tant dans son individualisme que dans son matérialisme. Ainsi chaque médium sert une démarche à la fois artistique et philosophique.


Ses petits « Big Bang » incrustés dans du verre acrylique, comme figés dans l’instant de grâce ultime de l’explosion, nous interrogent sur le temps qui passe, se consume et nous survit, indéniablement. Dans une société où tout va de plus en plus vite, et où l’homme contrôle bien des choses, l’artiste François Bel cristallise le rêve de chacun, en arrêtant un instant le temps dans ses œuvres.


Et cette phrase illustre le jeu de l’artiste avec ces notions de néant : « Nous avons fait tant de choses avec si peu de moyen que nous sommes désormais capables de tout faire à partir de rien… »

Josepha


Née en 1950 dans le Sud Ouest de la France, Josepha est une sculptrice française de grande renommée qui s’est récemment vu décerner le prix de la meilleure sculptrice française de cette décennie. De l’origine italienne de sa mère, elle a hérité son prénom et sans doute sa créativité. Elle fut d’abord styliste de mode et ses collections de cuirs et chapeaux lui valurent un succès international dont bien d’autres se seraient satisfaits. Mais Josepha brûle d’envie de se confronter à d’autres matières. Sa rencontre avec l’homme qui partage aujourd’hui sa vie, sculpteur lui-même et professeur d’arts plastiques, sera décisive. 


En 1992, elle décide de se consacrer corps et âme à la sculpture. Son style vivant et poétique s’affirme d’emblée à travers la terre, la pierre et le bronze. Puis avec le polyester, il prend une dimension onirique, caractérisée par des formes féminines réduites à l’essentiel, mises en valeur par une luxuriance d’effets colorés.


Il y a dans son œuvre le mystère et la magie de la création. Son monde se situe entre rêve et réalité, où l’imagination n’a plus de limite et où toutes les fantaisies et libertés sont permises, pourvu que demeurent le raffinement, l’élégance et la poésie.


Josepha représente la femme dans toute sa splendeur, mettant en évidence sa féminité, sa sensualité, sa tendresse, sa nature exubérante ou sage. Ses personnages vivent, bougent, respirent, et n’ont rien du nu académique classique. Si nous devions lui choisir un parrain, ce serait immanquablement Degas. Il y a dans ses sculptures toute la grâce, toute la légèreté, la finesse et la vie de ses danseuses. Toute son œuvre est une célébration de la femme moderne, mère et séductrice, ingénue et aguichante, exubérante ou sage.


« J’aime idéaliser. Mon travail est une récréation et chaque nouvelle idée surgit comme un jeu, comme une belle histoire », nous dit l’artiste. 


Daniel Castan


Né en Dordogne, Daniel Castan est diplômé des Beaux Arts de Bordeaux. Il commence sa carrière en travaillant comme graphiste puis crée sa propre société et réalise des travaux pour l’Unicef, l’ONU ou Pierre Balmain. De New-York à Hong Kong, il voyage énormément pour son travail. À 40 ans il replonge dans l’univers du plaisir et reprend ses pinceaux. Si cela plaît, tant mieux, dans le cas contraire tant pis… L’artiste est une personnalité, un caractère qui semble souhaiter être simplement libre d’assouvir sa passion. 


Les villes de Daniel Castan sont un hymne à la couleur et à la lumière, une invitation à un profond voyage. Ses toiles son peinte d’instinct, selon son imagination. Il laisse la peinture le conduire vers une représentation abstraite et épurée. Il se crée son propre univers où la pensée et la raison sont remplacées par la peinture. 


Si artiste est synonyme d’êtres en marge qui souffrent au fond de leur nature et déchirent toutes les fibres de leur cœur en le laissant battre, alors artiste il n’est pas ; mais si artiste signifie de transcender le coeur des spectateurs par ce je ne sais quoi de palpitant, alors artiste il le sera malgré lui. 


« Parler de ma peinture, c’est comme demander à un poisson rouge pourquoi il nage. Il nage tout simplement parce qu’il ne sait pas faire grand chose d’autre. On peut s’émerveiller devant le spectacle ou trouver cela d’une triste banalité, le poisson, il s’en moque. Tout ce qu’il demande, c’est que personne ne vienne le sortir de l’eau. »

GALERIE 337 

info@galerie337.com


Arcachon (33120) 

42 Cours Lamarque de plaisance

t. +33 (0)6 86 40 21 28


Saint Paul de Vence (06570) 

29 Rue Grande

t. +33 (0)4 93 58 17 47


Courchevel 1850 (73120) 

Espace Diamant

t. +33 (0)4 79 09 70 09


Megève (74120) 

12 Route de Rochebrune

t. +33 (0)4 50 96 95 67


Notre générateur de qr-code